Pure Performance Mountain Riding

Comment manipuler les peuples en 10 leçons

Comment manipuler les peuples en 10 leçons

Pressenza International Press Agency a résumé, fin septembre, les dix commandements de la manipulation médiatique, selon le célèbre sociologue Noam Chomsky. Les voici en bref :

Elément primordial du contrôle social :

La stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du publicdes problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, du mental, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

Exemple : peu d'entre nous savent ce qui se trament en Europe et pourtant ils décident de 80 pour cent de nos lois, qui d'entre nous sait qu'en ce moment on veut nous imposer une médecine et nous interdire la liberté de choisir notre façon de nous soigner

Une nouvelle directive de l'Union Européenne doit être mise en place au 31 décembre de cette année. Il s'agit d'un "Codex Alimentarius" qui limiterait considérablement les substances autorisées dans le domaine des médecines alternatives et des suppléments alimentaires, si la directive était votée. Ceci aurait pour effet que pour les remèdes que nous achetons aujourd'hui 
(Homéopathie, Fleurs de Bach, sels de Schlüssler, minéraux et vitamines) le nombre des substances actives autorisées serait si limité que ces médicaments perdraient leur efficacité.




Le déluge d'infos caniveau empêche de prendre conscience de ce qui va déterminer notre futur.

Le lobby de l’industrie pharmaceutique a réussi à faire un sort à la concurrence pénible des produits naturels. A compter du 1er avril 2011, la vente de tous les produits à base de plantes médicinales sera interdite sur le territoire de l’Union européenne...


Savez-vous que l’on a augmenté le taux de radiation dans votre alimentation sans vous demandez votre avis et on pourrait faire certainement des dizaines de pages de lois limitant nos libertés et dangereuse pour notre bien-être comme corolaire.

 

1/ « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ». 

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». 
On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui- même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


3/ La stratégie de la dégradation 

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.


4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.


Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un 
sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

La destruction de la retraite dure depuis près de 20 ans, il en de même pour l'emploi et d'autres sujets, les problèmes ne sont pas arrivés par hasard.


5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas âge 

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine 
probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ». 


6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion 

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour 
court-circuiter l’analyse rationnelle,
et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements… 


7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise 

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les 
technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ». 


8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être stupide, vulgaire, et inculte…


9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à 
cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !… 


10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes 

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science 
ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, sans compter les enquêtes de surveillance d'écoute et de renseignement.. le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui- même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus 
grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Il faut garder son sens de la critique vis à vis de ce que nous donne à manger les médias, et ne pas croire tout ce qu'on nous laisse entendre. Il faut garder de la distance avec ce qu'on nous raconte, se forger sa propre opinion, prendre l'info autant qu'on en laisse. Quand on lit l'article et qu'on voit les différentes mesures prises par le gouvernement, ou les choses mises à notre disposition type réseaux sociaux ou autres, il faut rester conscient du contrôle de nos libertés de plus en plus présentes et rester vigilant. On n'est plus en 1984, c'est certain, mais on n’est pas loin du roman de Georges Orwells "1984", méfiez-vous, Big Brother est déjà parmi nous...

Source et selon le sociologue Noam Chomsy

Pressenza International Press Agency a résumé, fin septembre, les dix commandements de la manipulation médiatique, selon le célèbre sociologue Noam Chomsky.

http://www.pressenza.com/npermalink...

Pressenza International Press Agency a résumé, fin septembre, les dix commandements de la manipulation médiatique, selon le célèbre sociologue Noam Chomsky. Les voici en bref :

Élément primordial du contrôle social :

La stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du publicdes problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, du mental, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

Exemple : peu d'entre nous savent ce qui se trament en Europe et pourtant ils décident de 80 pour cent de nos lois, qui d'entre nous sait qu'en ce moment on veut nous imposer une médecine et nous interdire la liberté de choisir notre façon de nous soigner

Une nouvelle directive de l'Union Européenne doit être mise en place au 31 décembre de cette année. Il s'agit d'un "Codex Alimentarius" qui limiterait considérablement les substances autorisées dans le domaine des médecines alternatives et des suppléments alimentaires, si la directive était votée. Ceci aurait pour effet que pour les remèdes que nous achetons aujourd'hui 
(Homéopathie, Fleurs de Bach, sels de Schlüssler, minéraux et vitamines) le nombre des substances actives autorisées serait si limité que ces médicaments perdraient leur efficacité.



Le déluge d'infos caniveau empêche de prendre conscience de ce qui va déterminer notre futur.

Le lobby de l’industrie pharmaceutique a réussi à faire un sort à la concurrence pénible des produits naturels. A compter du 1er avril 2011, la vente de tous les produits à base de plantes médicinales sera interdite sur le territoire de l’Union européenne...


Savez-vous que l’on a augmenté le taux de radiation dans votre alimentation sans vous demandez votre avis et on pourrait faire certainement des dizaines de pages de lois limitant nos libertés et dangereuse pour notre bien-être comme corolaire.

1/ « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ». 

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». 
On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui- même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


3/ La stratégie de la dégradation 

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.


4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.


Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un 
sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

La destruction de la retraite dure depuis près de 20 ans, il en de même pour l'emploi et d'autres sujets, les problèmes ne sont pas arrivés par hasard.


5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas âge 

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine 
probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ». 


6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion 

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour 
court-circuiter l’analyse rationnelle,
et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements… 


7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise 

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les 
technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ». 


8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être stupide, vulgaire, et inculte…


9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à 
cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !… 


10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes 

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science 
ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, sans compter les enquêtes de surveillance d'écoute et de renseignement.. le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui- même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus 
grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Il faut garder son sens de la critique vis à vis de ce que nous donne à manger les médias, et ne pas croire tout ce qu'on nous laisse entendre. Il faut garder de la distance avec ce qu'on nous raconte, se forger sa propre opinion, prendre l'info autant qu'on en laisse. Quand on lit l'article et qu'on voit les différentes mesures prises par le gouvernement, ou les choses mises à notre disposition type réseaux sociaux ou autres, il faut rester conscient du contrôle de nos libertés de plus en plus présentes et rester vigilant. On n'est plus en 1984, c'est certain, mais on n’est pas loin du roman de Georges Orwells "1984", méfiez-vous, Big Brother est déjà parmi nous...

Source et selon le sociologue Noam Chomsy

Pressenza International Press Agency a résumé, fin septembre, les dix commandements de la manipulation médiatique, selon le célèbre sociologue Noam Chomsky.



11/05/2011
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 13 autres membres