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Decimination de la vie sur terre

Décimation de la vie sur Terre

© Alter Info, Independent.co.uk

animaux en danger
The Independent, par Emily Dugan le 16 mai 2008

Les espèce sont en voie de disparition à  un rythme sans précédent depuis la disparition des dinosaures, selon un rapport publié aujourd’hui. Le comportement humain en est rendu responsable.

€”¹Â€”¹Â€”¹Le recensement du règne animal met en évidence le déclin des espèces dans le monde à  un rythme exceptionnel depuis l’extinction des dinosaures. Une publication de Living Planet Index montre aujourd’hui l’impact dévastateur de l’humanité. Vers 2005, on constatait que la biodiversité avait chuté de près d’un tiers en 35 ans.

Le rapport, produit par le WWF, la Société Zoologique de Londres (ZSL) et le Global Footprint Network, affirme que la réduction atteint 25 pour cent des espèces terrestres, 28 pour cent de la vie marine, et 29 pour cent des espèces d’eau douce [, et 100 pour cent des scientifiques doués de raison quand ils sont associés aux bénéfices, ndt].

Jonathan Loh, rédacteur en chef du rapport, a dit que cette chute abrupte est « absolument exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité, » rajoutant, « Nous devons remonter à  l’extinction des dinosaures pour voir un déclin aussi rapide que celui-ci. Comparé à  la durée de la vie nous pourrions estimer que les choses changent relativement lentement, mais c’est très rapide rapporté à  l’évolution du monde. »

Et c’est mesquin de présenter ça comme « rapide. » Des scientifiques disent que le rythme d’extinction actuel est 10.000 fois plus rapide que ce que montrent les enregistrements historiquement naturels.

Tandis que les nations se réunissent pour la Convention sur la Diversité Biologique à  Bonn, ces chiffres alarmants jetteront une ombre sur les promesses du gouvernement s’engager à  réduire « significativement » la perte de biodiversité d’ici à  2010. En fait, les auteurs du rapport affirment que l’inaction mondiale a déjà  rendu ce genre d’objectif totalement irréalisable.

« C’est très accablant pour les gouvernements qui participent à  la Convention de ne pas être capables d’atteindre l’objectif qu’ils se sont fixés eux-mêmes, » a déclaré M. Loh. « Si la conférence ne se traduit pas en actes, nous aurons foiré, et les conséquences seront dévastatrices. »

Suivant près de 4.000 espèces entre 1970 et 2005, l’équipe a non seulement révélé la destruction de la faune de la Terre, mais a aussi pointé du doigt les auteurs de cette dévastation. [àƒ”¡à  alors ! Ils ont dénoncé Monsanto et la pétrochimie rockefellerienne ? Et ils sont toujours vivants ? ndt.]

Ben Collen, enquêteur sur l’extinction à  la ZSL, a bougonné : « Entre 1960 et 2000, la population humaine du monde a doublé. Cependant, au cours de la même période, les populations animales ont diminué de 30 pour cent. Il est hors de doute que ce déclin a été provoqué par l’homme. » [Comme on le voit, c'est à  partir de ce paragraphe que ça commence vraiment à  merder à  bloc, ndt.]

L’étude a relevé cinq raisons au déclin des espèces, qui peuvent toutes être attribuées au comportement humain : le changement climatique [donc, l'homme a réussit à  provoquer le réchauffement du Système Solaire, ndt], la pollution [ça c'est ben vrai ça ! Mère Denis ndt], la destruction de l’habitat naturel des animaux, la propagation d’espèces envahissantes et la surexploitation des espèces. Au moment où l’Amérique a enfin rajouté l’ours polaire à  la liste des espèces en péril, il apparaît que l’ampleur de la destruction des espèces va bien au-delà  des animaux mis en vedette. Mais, comme dans le cas de l’ours polaire, le comportement de l’humanité doit être radicalement changé afin d’arrêter le saccage de la biodiversité de la Terre [Comment ils vont faire ça ? En fermant les usines polluantes et en interdisant de fabriquer des trucs infranaturels ? À moins que les crétins du WWF dressent les gens en les accablant de ridicule ? En leur peignant d'immenses chiffres jaunes fluorescent dessus ? Comme ils le faisaient sur les pauvres ours polaires pour les compter tranquillement à  la jumelle ? ndt].

Le dauphin d’eau douce du Yangtze est un bon exemple. Les scientifiques pensent qu’il est éteint, car les recherches successives de mammifères d’eau douce se sont révélées vaines. Il existe de nombreuses raisons à  son extinction rapide : collisions entre navires, perte d’habitat, pollution. Tous ces facteurs ramènent à  l’auteur : l’humanité. [Là , c'est 100 pour cent de la désinformation. Dans ce cas précis, l'extinction est due à  un seul facteur : la pollution industrielle, qu'elle soit par des produits chimiques, radioactifs, modifiés génétiquement ou nanothechnologiques. Les collisions de navires seraient sans conséquence s'ils transportaient des choses compatibles avec la vie, ndt.]

À part la lutte contre les émissions mondiales, le rapport recommande deux façons pouvant combattre le déclin des espèces : éviter la destruction de l’habitat naturel des animaux par la surexploitation ou la culture et éviter les excès de l’agriculture et de la pêche de certaines espèces. [Pour la destruction de l'habitat naturel, il faut gronder le FMI et l'OMC qui imposent de remplacer les cultures vivrières traditionnelles, compatibles avec l'habitat, par des monocultures qui exigent la chimiastrerie polluante pour échapper aux éboueurs de la nature que l'agronomie appelle « parasites, » ndt.]

Les implications de la réduction drastique de la biodiversité ont déjà  un impact sur la vie humaine. « La réduction de la biodiversité signifie que des millions de gens seront confrontés à  un avenir où l’approvisionnement en nourriture sera plus vulnérables aux parasites et aux maladies et où la fourniture d’eau sera irrégulière ou insuffisante, » a déraillé James Leape, directeur général du WWF. [Un fameux raisonnement fumeux de fumiste, ndt.]

« Nul ne peut échapper à  l’impact de la réduction de biodiversité mondiale parce qu’elle se traduit assez nettement par moins de nouveaux médicaments [merde alors, comment vont vivre les médicastres ? ndt], une plus grande vulnérabilité aux catastrophes naturelles et de plus grands effets du réchauffement de la planète. Le monde industrialisé doit soutenir l’effort mondial visant à  atteindre ces objectifs, pas seulement dans leur propre territoire où beaucoup de la biodiversité a déjà  été perdu, mais aussi au niveau mondial. »



23/10/2009
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